Que Rodgers signe ou non, Rudolph se sent désiré à Pittsburgh

Dans plus d'une facette, le retour au boulot au UPMC Rooney Sports Complex du quart-arrière des Steelers de Pittsburgh Mason Rudolph a quelque chose de familier.

L'entraîneur-chef, plusieurs de ses coéquipiers, les représentants des médias et les uniformes sont les mêmes.

Les distractions potentielles ont fait partie intégrante de ses cinq saisons rocambolesques dans la NFL. 

Et une autre fois de plus ce printemps, celles-ci sont au rendez-vous.

« Ce n'est rien de nouveau pour moi », a déclaré Rudolph mardi lorsqu'il a été questionné au sujet de l'ajout possible d'Aaron Rodgers, véritablement l'éléphant dans la pièce chez les Steelers.

« Il y a constamment du bruit. C'est la nature de la NFL. Je m'y suis habitué depuis le temps. Je fais de mon mieux pour être en grande forme, et pour aider notre équipe à s'améliorer ce printemps. »

Après une année passée dans le giron des Titans du Tennessee, le choix de troisième ronde du repêchage de 2018 est revenu à Pittsburgh dans le cadre d'une entente de deux ans et 7,5 M$ paraphée dès la première semaine du marché de l'autonomie.

La signature de Rudolph s'est faite tandis que les Steelers continuent de tenter d'attirer le vétéran Rodgers. Incertain de son avenir, le quadruple récipiendaire du trophée de « MVP » dans la NFL continue de faire patienter les clubs intéressés à ses services.

« C'est très bien », a répondu Rudolph au sujet de sa mise sous contrat hâtive par les Steelers. « J'ai fait partie d'équipes auxquelles je me suis joint un peu plus tard au printemps, et d'autres avec lesquelles j'y étais dès le début. J'ai appris à m'ajuster aux deux scénarios, mais c'est certainement bien d'être désiré. »

Pour Rudolph, l'objectif derrière les trois prochaines semaines sera d'apprendre les fondements de l'attaque dirigée par Arthur Smith.

Durant son premier séjour dans l'uniforme de Pittsburgh, Rudolph a eu pour coordonnateurs offensifs, dans l'ordre, Randy Fichtner, Matt Canada, Eddie Faulkner et Mike Sullivan.